Quel est ce mystérieux Libellus qui attise tant la convoitise d’un nombre croissant de fanatiques ? Pour répondre à la question, ce roman vous entraînera de Val-Dieu à Venise, dans une double enquête à rebondissements aux côtés d’un jeune padre, Sandro Del Piero, et d’une inspectrice de police qui ne se trouve pas seulement être qu’une de ses anciennes condisciples…
Un frère virtuose du violon mais étrangement disparu, un médaillon et des croix propres à semer le chaos, voilà qui pimentera le tout. Avec, en toile de fond, la musique de Vivaldi pour accompagner la quête d’un jeune garçon avide de savoir ce qu’il y a au-delà de la mort…
Le chemin débouchant sur ce livre fut particulièrement long et jalonné d’étapes incertaines. Il débuta dans une certaine abbatiale, face à une certaine statue qui mit le feu aux poudres !
L’idée était d’abord d’élaborer une bande dessinée. Courte, modeste mais efficace. Et quand mon dessinateur m’a eu lâché, je me suis tourné vers les Éditions du Lombard pour en trouver un de remplacement. Sûr des qualités du scénario, leur responsable m’a alors fait comprendre que celui-ci se prêterait mieux à un roman, voire un téléfilm. Pour ce dernier, nous verrons. Quant au roman, je n’avais « plus qu’à » me plier à l’exercice pour étoffer mon travail.
Entretemps est venu s’interposer un autre projet : celui de rapporter le témoignage de ma grand-mère à travers ces événements surréalistes qui ont bouleversé à l’époque la vie de pas mal d’habitants des Cantons de l’Est de la Belgique après l’annexion de la région en mai 40. Lily a ainsi vu le jour grâce aux Éditions Jourdan, bientôt suivie de sa sœur jumelle dans une traduction en allemand parue chez Rhein-Mosel Verlag. Bientôt accompagnée d’une conférence d’introduction assez décalée, illustrée de dessins humoristiques sur lesquels est venue se greffer la voix « off » de Martin Charlier.
Et tandis qu’un premier et un deuxième livres paraissaient, un autre mûrissait. Sitôt rebaptisé. Expérience aidant, j’étais prêt à remettre mon Libellus sur le métier. À le lisser, encore et encore, car il est avant tout le fruit d’un patient travail de finition. Étalonné car je suis aussi instituteur et quoiqu’en disent certains, c’est un boulot qui ne s’arrête pas aux seules heures passées face aux élèves.
Restait à proposer aux Éditions Empaj le roman que j’avais commis. À madame Kasongo, leur directrice, iront mes remerciements d’avoir apporté sa contribution pour établir ce lien avec les futurs lecteurs. Puisque dès cet instant, le livre, mon libellus et son histoire, ne m’appartenait plus…
"Un récit efficace, trépidant, écrit avec talent"
Prix de Pédagogie Louis Alleman, certificat de l’École de Pédagogie de Liège, lauréat du Prix Reine Paola pour l’enseignement mais aussi 2ème Prix au concours national de musique et médaillé d’argent de la Fédération musicale de la Province de Liège, cet instituteur était loin de se douter qu’un jour, il proposerait un roman à un public bien différent de celui qu’il côtoie au quotidien.
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